Assumant le rôle de l’opérateur des forces spéciales Roy Adams, le joueur tente de sauver cinq otages retenus prisonniers en territoire ennemi. Le jeu est divisé en six étapes, chacune desquelles avance le récit une fois terminée. Par exemple, une fois l'étape de la jungle terminée, Adams interroge un soldat ennemi et apprend l'emplacement du camp de concentration où les otages sont détenus. Ce fut l'un des premiers jeux de tir à présenter un scénario.

Le jeu utilisait un contrôleur optique logé à l'intérieur d'un ensemble de pistolet gradué après et qui ressemblait beaucoup à la mitraillette Uzi . Celui-ci, à son tour, était monté sur une base carrée recouvrant l’axe de pivot, ce qui permettait aux joueurs de pivoter et d’élever le "canon". Un moteur à engrenage à l'intérieur du boîtier simulait le recul ressenti par le joueur lorsqu'il "tirait" l'arme sur des cibles en jeu. [2] Le fait d' appuyer sur la gâchette permettait un tir entièrement automatique. En appuyant sur un bouton près du museau, vous lanciez une grenade à large rayon qui pouvait toucher plusieurs cibles.

Afin de compléter chaque étape, le joueur doit tirer un nombre requis de soldats et de véhicules (camions, bateaux, hélicoptères, transports blindés), comme indiqué par un compteur à l'écran. Le joueur commence avec un stock limité de munitions et de grenades, mais peut en trouver davantage tout au long du jeu, soit ouvertement exposé, soit révélé en tirant des caisses / tonneaux, des noix de coco dans les arbres et des animaux comme des cochons et des poulets. Les bombes à la dynamite infligent de lourds dégâts à toutes les cibles à l’écran, qu’elles soient ennemies ou amies; une mise sous tension spéciale de la mitrailleuse permet de disposer de munitions illimitées et d’augmenter le taux de tir pendant 10 secondes.